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Les Sept soeurs T. 1 Maia, de Lucinda Riley

A la mort de leur père, énigmatique milliardaire qui les a adoptées aux quatre coins du monde lorsqu'elles étaient bébés, Maria d'Aplièse et ses sœurs se retrouvent dans la maison de leur enfance, Atlantis, un magnifique château sur les bords du lac de Genève.
Pour héritage, elles reçoivent chacune un mystérieux indice qui leur permettra peut-être de percer le secret de leur origine. La piste de Maia la conduit au-delà des océans, dans un manoir en ruines sur les collines de Rio de Janeiro, au Brésil. C'est là que son histoire a commencé... Secrets enfouis et destins brisés : ce que Maia découvre va bouleverser sa vie.

Je dois avouer que j'ai eu un peu de mal à entrer dans ce roman et que je n'y suis d'ailleurs jamais entrée complètement. Beaucoup de détails m'interpellent et me sortent de l'histoire. Parmi les questions que je me pose et qui me posent le plus de problèmes : qui est Pa Salt ? Comment a-t-il pu adopter six petites filles à travers le monde sans difficultés ? Comment est-il possible qu'aucune d'entre elles ne sachent exactement d'où provient sa richesse ?

J'ai trouvé le roman superficiel au début. L'autrice survole les points qui posent problèmes en adoptant le point de vue de ses personnages qui ne connaissent pas les réponses et ne s'en préoccupent pas, invitant le lecteur à faire de même. Pour ma part, ça m'a complètement sortie de l'histoire et il a fallu que je fasse un réel effort pour passer outre.

L'histoire en elle-même est mignonne. Elle s'articule autour de deux récits, celui de Maia qui apprend la mort de son père, découvre les indices qu'il a laissé pour qu'elle retrouve sa famille biologique et l'enquête qu'elle mène. Et d'un autre côté, l'histoire de la jeune Izabela au début du XXème siècle à Rio de Janeiro et de ses amours.
Ce roman fait voyager : on part de Genève, on visite Rio de Janeiro à deux siècles différents en passant par le Paris des années 1920. On aperçoit Jean Cocteau, la Closerie des Lilas, l'ambiance est bien campée, bref, on y croit.

Mon avis en bref : Lucinda Riley a une très belle plume, je dois l'avouer et c'est ce qui a fait que j'ai poursuivi ma lecture. Ceci étant dit, je pense que, comme pour Virgin River, ces romans sont des lectures "doudous", pour lesquelles il est nécessaire de poser son cerveau sur le côté et d'accepter de ne pas poser de questions.

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